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19 février 2024

 Conférence Verdi

             1ère partie 

          Samedi 17 février 








Compositeur italien né le 10 octobre 1813 à Roncole (province de Parme), décédé à Milan le 27 janvier 1901





Génial et généreux, Giuseppe Fortunio Francesco Verdi fut le compositeur dont les opéras accompagnèrent l'émergence de l'Italie en tant que nation; il incarna la toute puissance des effusions romantiques.





Présentation de la conférence par le président de l'association Michel Giannetti.








René Amendola, notre dévoué et fidèle conférencier.








L'ascension d'un jeune homme d'origine modeste.


Fils d'un aubergiste, Verdi révèle ses dons musicaux dès les bancs de l'école de Busseto et adolescent, peut les développer grâce à l'aide que lui apporte Antonio Barezzi (1787 - 1867), riche négociant et mélomane.

 A 19 ans, grâce à une bourse il se rend à Milan pour y préparer le conservatoire. Recalé en raison de son niveau insuffisant au piano, Verdi fréquente assidûment La Scala qui est le temple du bel  canto. Il retourne à Busseto en 1836, obtient un poste d'organiste et épouse Margherota Barezzi (1814 - 1840), la fille de son mécène.

Impatient de faire carrière dans l'art lyrique, il repart à Milan en 1838.











Premiers succès





Verdi obtient un succès d'estime avec un premier opéra, Oberto (1839) ...





... mais il essuie un échec avec le deuxième, Un giorno di regno (1840)




Affligé par la perte de sa femme et de ses deux enfants, morts de la tuberculose, il se jette à corps perdu dans la composition de Nabucco, dont la représentation le 9mars 1842 se fait dans un enthousiasme inoui.























A 35 ans, il est déjà au au faîte de sa gloire et à la tête d'une grande fortune, alors qu'il n'a pas encore écrit ses principaux chefs-d'oeuvre.


Villa de Verdi.




L'oeuvre de Verdi





Considérations esthétiques










Les trois opéras de la consécration.


Le génie musical de Verdi éclate dans les trois opéras de la consécration: Rigoletto (1851) dont le grand air "La donna è mobile"  (Souvent femme varie) est connu dans le monde entier ...










"La donna è mobile"






... "Il trovatore" (Le trouvère 1853) applaudi dans une ambiance indescriptible ...













"La Traviata" créé à la Fenice de Venise dans une ambiance différente en raison de la censure qui s'effraie du sujet tiré de "La dame aux camélias" d'Alexandre Dumas. Remanié par Verdi "La Traviata" triomphe l'année suivante.








Dès lors, la musique italienne domine sans partage la scène internationale et, en Italie même, à la veille de l'unité politique, les airs de Verdi retentissent comme autant d'Hymnes nationaux.


Un public, tout à l'écoute des airs d'opéra entendus pendant la conférence: Nabucco, Attila, Macbeth, puis La donna è mobile, Il trovatore, La traviata. 






Clôture de la première partie de la conférence par le vice-président Jean-Pierre Minetti.





En novembre, deuxième partie.















 

2 commentaires:

  1. Passionnante conférence .bravo aux organisateurs et au conférencier

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  2. Trés belle conférence agrémentée d'airs d'opéra "grand public" : merci à René Amendola qui a animé cette après-midi musicale... et merci à Daniel pour son reportage. michel

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